- Dates de représentation 08/01/2011 (Le Générateur)
- Source Le Générateur
- Artistes Olivier Nourisson, Constantin Alexandrakis
La performance dure 17 minutes. Le titre de la performance, Das Dingbât, vient à la fois d’un mélange entre le mot anglais « dingbat », qui signifie imbécile ou truc, et les mots allemands « Das Ding », qui signifient la chose.
Olivier Nourrisson et Constantin Alexandrakis sont debout derrière une table éclairée par deux lampes de bureau. Ils posent tour à tour sur un rétroprojecteur des photographies en noir et blanc. Alors que les photographies apparaissent sur le mur, les deux performeurs énoncent de façon sommaire et parfois très peu précise – « des trucs », « un machin » – ce qu’elles représentent.
Les clichés n’ont en apparence aucun lien entre eux. Nous pouvons notamment y voir des bâtiments, des scènes de la vie quotidienne, des véhicules, des animaux, des références à la culture populaire… Les images sont parfois absurdes. Le vocabulaire familier et décalé employé pour décrire les photographies déclenche les rires des spectateur·rices.
Les deux performeurs semblent entraînés dans un jeu consistant à dire la première chose qui leur passe par la tête, sans jamais aucun temps de pause, ni de réflexion. Lorsque la dernière image est posée, Constantin Alexandrakis conclut en déclarant « Voilà, c’est le monde ! ».
- Crédits réalisateur·rice Le Générateur
- Crédits monteur·euse Thibault Paris
- Date de captation 08/01/2012
- Nombre d’œuvres dans le fonds 1
- Nombre d’œuvres dans le fonds 1