Informations œuvre
  • Dates de représentation 18/10/2009 (Le Générateur), 01/10/2022 (Le Générateur)
  • Source Le Générateur
  • Artistes Gabriel Hernandez
Informations évènement
  • Évènement(s) cadre(s) Festival [ frasq ], rencontre de la performance Nuit Blanche Paris
  • Contexte
    Présentée une première fois dans le cadre du festival [ frasq ], rencontre de la performance organisée par Le Générateur chaque mois d’octobre depuis 2009.

    Présentée une seconde fois dans le cadre de l’évènement Nuit Blanche.
Note d’intention

A dire rien qu’être à quoi dire est une partition pour 25 interprètes. L’ensemble consiste à “faire passer (l’ensemble d’objets fabriqués pour couvrir le corps, le cacher, le protéger, le parer) à une place – partie d’un espace ou d’un lieu – (où ils n’étaient pas)”. Suivant rigoureusement et à son propre rythme les instructions, chaque interprète enfile, ôte, accumule des vêtements de manière inattendue et parfois absurde. La partition prend fin lorsque toutes les instructions sont épuisées et que chacun est impeccablement vêtu.

Cette performance a été réalisée en 2009, en partenariat avec Le Plateau, dans l’installation de Fabrice Gygi. Puis, au cours de la Nuit Blanche 2022, la performance s’est déployée par vagues et de façon aléatoire au milieu des 5 véhicules de l’installation de Cyril Leclerc Bagnole avec : Alice Bera, Laetitia Bonfante, Raphaële Brice, Marianne Brugère, Pascal Delabouglise, Fabien Dymny, Sophia El Mokhtar, Claire Faugouin, Daniel Franchini, Reynan Liu, Margaux Monti, Tatiana Moreno Arciniega, Serge Pauchon, Qibo Sun et Catherine Ursin.

Notice de l’œuvre

Des piles de vêtements colorés sont soigneusement pliés au sol à différents endroits dans l’espace du lieu. A intervalles irréguliers, une, deux, parfois trois performeur-ses sortent de la porte du fond et se dirigent sans hésitation vers l’une de ces piles. Ils arrivent en sous-vêtements, il·elles s’habillent sous nos yeux et enfilent les vêtements en couches successives dans un ordre inhabituel mais visiblement en lien avec un protocole très précis. L’action s’achève lorsqu’Il-elles repartent de là où ils sont venus impeccablement vêtus.

En images
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Informations images
  • Nombre d’images sélectionnées pour Performance Sources 17
  • Crédits photographes Bernard Bousquet
  • Dates des prises de vues 18/10/2009
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  • Nombre d’œuvres dans le fonds 3
Danseur, Gabriel Hernández a été formé par Gelu Barbu aux Îles Canaries puis à l’Institut del Teatre de Barcelone. En 1996, il crée la compagnie tHEL danse et sa première pièce Reading Frame D and the Correlated. Lors de leur résidence à Mains d’Œuvres entre 2002 et 2006, la compagnie présente leur dispositif chorégraphique Sortir le dragon en Hibernation. Le travail de Gabriel Hernández peut s’incarner sur divers supports et dispositifs : pièces chorégraphiques, photographies, films, livres, installations, performances. Malgré cette diversité, c’est bien une réflexion et des problématiques proprement chorégraphiques qui sont à l’origine de sa démarche. Il est accueilli, sans distinction de médiums, par des structures relevant tant du domaine chorégraphique que du domaine des arts …
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