- Dates de représentation 21/10/2012 (Le Générateur)
- Source Le Générateur
- Artistes Cosetta Graffione, Nido Uwera
- Commissaires Anne Dreyfus
- Évènement(s) cadre(s) Festival [ frasq ], rencontre de la performance
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Contexte
Œuvre présentée dans le cadre du festival [ frasq ], rencontre de la performance, organisé par Le Générateur chaque mois d’octobre depuis 2009.
Cette performance est une série de cinq pièces tournant autour de la question « qu’est-ce qui incarne le concept de home ? ». Quatre soirs, deux danseuses présentent tour à tour leur vision du concept. Le dernier soir, les danseuses réalisent une performance collective, visant à établir un espace commun.
Les 8 solos sont le fruit d’un travail personnel de création de chaque danseuse-performeuse, finalisé avec la complicité et le regard d’Anne Dreyfus.
Home PARTIE 1 - 13/10/2012 / Le Générateur
Avec Gudrun Skamletz, Michaela Meschke
Home PARTIE 2 - 14/10/2012 / Le Générateur
Avec Emilie Rivière, Miyoko Shida
Home PARTIE 3 - 16/10/2012 / Micadanses - 20/10/2012 / Le Générateur
Avec Fatiha Mellal, Lilit Vardanyan
Home PARTIE 4 - 21/10/2012 / Le Générateur
Avec Cosetta Graffione, Nido Uwera
Home FINAL - 26/10/2012 / Le Générateur
Avec Cosetta Graffione, Fatiha Mellal, Michaela Meschke, Emilie Rivière, Miyoko Shida, Gudrun Skamletz, Nido Uwera, Lilit Vardanyan, Jean-François Pauvros, David Jisse, Catherine Radosa
Dans le hall du Générateur, Cosetta Graffione embrasse et enlace les spectateur·rices de façon empathique et empressée, ainsi qu’on le fait à Gênes, sa ville natale. Elle invite les spectateur·rices à entrer dans la salle, où le clip vidéo d’une chanson italienne très douce est projeté sur un mur. Après plusieurs minutes de danse, la performeuse se dirige vers une structure cubique en métal, sur laquelle pendent plusieurs vêtements, et revêt une robe de mariée. Le public est installé tout autour de la structure. Face à lui, Cosetta Graffione chante, danse joyeusement et raconte des histoires au public. La performance s’achève lorsque la danseuse, épuisée, diminue l’intensité et la vitesse de ses gestes.
Nido Uwera évolue dans l’espace dans une semi-obscurité, aucune musique ne l’accompagne mais elle compose des rythmes avec ses pieds et ses doigts. La lumière s’avive peu à peu. Sa danse comprend le sol comme un élément de décor avec lequel elle interagit. Une musique se déploie dans la salle et la danseuse se laisse porter à son rythme. La danseuse originaire du Rwanda propose un concept de « home » relié à l’espace concret que représente le sol et ses vibrations.
- Crédits réalisateur·rice Le Générateur
- Crédits monteur·euse Thibault Paris
- Date de captation 21/10/2012
- Crédits réalisateur·rice Le Générateur
- Crédits monteur·euse Thibault Paris
- Date de captation 21/10/2012
- Nombre d’œuvres dans le fonds 2
- Nombre d’œuvres dans le fonds 2