Élizabeth Saint-Jalmes et Aurélie Dubois, “Con-fesse” :
Pour cette performance, Aurelie Dubois et Elizabeth Saint-Jalmes proposent de confesser le public. Dans des costumes et une scénographie rouge d’Aurélie Dubois, les deux artistes font réciter des prières écrites et illustrées par Elizabeth Saint-Jalmes.
Isabelle Clarençon :
Elle invite les spectateur·rice·s à danser un slow avec elle, sur une musique diffusée dans un casque.
Margot Blanc :
Les spectateur·rice·s sont invité·e·s à choisir parmi des cartes sur lesquelles sont inscrites des émotions et des mouvements. Leur association donne lieu à une improvisation dansée.
Claire Faugouin et Pilou :
Claire Faugouin est vêtue d’un pyjama koala et est assise à côté de la batterie de Pilou, lui-même vêtu d’une robe blanche. Puis, elle se lève et se déclare « orpheline de gestes merveilleux » en agitant un masque vénitien. Elle se change, enfile un costume en Lycra pailleté et attaque Sacha Solis et Zazie Zarmanti avec son masque. Elle invite des gens à danser.
Ariane Zarmanti, “Foire de France” :
Elle a fait naître des visages sur son corps, en s’appuyant sur le relief des articulations (genou, coude, épaule) ou la rondeur de la chair (ventre, sein, joue, menton). Elle utilisait principalement pour cela des autocollants d’yeux en relief, de bouches et/ou de nez. Ces quatre personnages cohabitaient dans un même corps-nation. Elle les promenait dans l’espace ou les gardait sous une petite tente qui pouvait évoquer aussi bien une baraque foraine que les tentes des SDF et des migrants. Drapeau français recouvert d’une inscription : « Aux petites femmes la patrie reconnaissante », pancarte « SDF Go home ».
Sonia Codhant, GREETINGS :
Les six actions de cette performance ont été réalisées avec des personnes du public. Une fois achevée, chacune pouvait se renouveler avec quelqu’un d’autre.
Protocole : Tenir un panneau expliquant brièvement ce qu’il m’importe de réaliser en attendant qu’une personne acceptant de le faire avec moi se manifeste. Effectuer avec elle l’action dans le décor apporté (soit sur ou dans le lit de mon enfance ; soit sur ma table de cuisine). La remercier, tenir à nouveau le panneau pour refaire l’action avec quelqu’un d’autre ou changer d’action.
Direction de la recherche : Créer un « faux habitus » en insérant du nouveau au coeur de mon historique et en expérimentant l’intime avec des êtres étrangers à mon quotidien.
Précision : Avant l’action à réaliser, chaque participant·e est équipé·e d’un casque diffusant une musique l’isolant du reste du public.
Louis Labadens et une performeuse :
Tou·te·s les deux nu·e·s, il·elle·s réalisent une danse improvisée.
Olivier Chebab :
Il est en slip doré, une lumière scintille à l’intérieur de celui-ci. Il tient dans une main un micro et dans l’autre un drapeau français.
Alberto Sorbelli :
Dans une attitude neutre, il vient à la rencontre des spectateur·rice·s, et les effleure avec une grande délicatesse, suscitant indifférence, répugnance ou au contraire une intense émotion.
David Noir :
Il est nu et porte un chapeau à la Davy Crockett. Sous une affiche sur laquelle est inscrite « David Croquette », il est allongé, recouvert de croquettes et les chiens Deus et Jaya viennent le lécher.
Ismaera Takeo Ishii :
Il est vêtu d’un pantalon turquoise, d’une veste marron et porte un bandeau dans les cheveux. Il réalise une danse improvisée toute la soirée.
Cyril Leclerc :
Dans les toilettes du Générateur, il propose aux spectateur·rice·s une installation sonore et lumineuse sous forme d’un concert intitulée “Sous influences”. En effet, Cyril Leclerc a souhaité expérimenter les effets des psychotropes (champignons hallucinogènes et alcool) lors de sa performance.
Anne-Sarah Faget et Clarence Revil :
Elles ont suspendu un rectangle blanc du plafond qui descend à peu près au niveau de la poitrine des spectateur·rices. Dessus, il est inscrit « http:// » et les visiteur·euse·s sont invité·e·s à poser des questions auxquelles les performeuses répondent. Elles engagent ainsi une discussion avec le public.
Anna Ten et Louis Labadens :
Il·elle·s proposent un dispositif sonore aux spectateur·rice·s : il·elle·s leur donnent un casque et un appareil. Les spectateur·rice·s écoutent l’histoire de Louis et son rapport à la danse. Il·elle·s sont invité·e·s à le suivre et l’imiter dans la salle.
Georges Lesayah
Il réalise une improvisation avec différentes percussions.
Groupe de musiciens :
Il·elle·s proposent une ambiance musicale avec une guitare, une batterie et un instrument à vent.
Céline Paul et Nicole Ah-Von :
Les deux performeuses parcourent la salle à quatre pattes, habillées en noir à la mode des années folles.
Julien Haguenauer :
Il mixe de la musique, assis à même la table.
Plusieurs danseur·euse·s :
Il·elle·s improvisent une danse tou·te·s ensemble.
Il·elles sont intervenu·es dans Show your frasq mais ne sont pas sur les photos et/ou dans la vidéo.
Adrien et Sacha Solis :
Ils dansent ensemble et jouent la scène mythique de Star Wars dans laquelle Dark Vador dit à Luke Skywalker « je suis ton père ». Ils jouent aussi avec les chiens Deus et Jaya.
Marc Plancéon, “Ronins”, prémices :
Marc Plancéon, vêtu d’une chemise blanche et d’un masque de Venise à l’arrière de la tête, danse et fait un véritable travail sur la lenteur au milieu des performeur·euse·s en action.
Mickael Berdugo :
Habillé en bleu de travail, il a une tête de cheval sur la tête et improvise des textes poétiques à partir de l’accroche « il est interdit de ».
Lucia Soler:
Elle est vêtue d’une veste noire sous laquelle elle est en culotte. Elle danse avec un parapluie noir.
Maude Trutet :
Vêtue d’une robe rouge, elle réalise une improvisation chantée et accompagnée par Clarence Réville à la guitare.
