- Dates de représentation 30/06/2015 (Le Générateur)
- Source Le Générateur
- Artistes Sarah Cassenti
- Évènement(s) cadre(s) 3 en Un : Dégagements / Déplacements
-
Contexte
Dans le cadre de l’exposition collective 3 en UN : Dégagements / Déplacements avec Sarah Cassenti, François Durif, Cyril Jarton, David Liver, Sarah Venturi, et Rémi Ucheda.
Avec les œuvres :
Sarah Cassenti, Louverture ;
François Durif, Où je suis ;
Sarah Venturi, Sang pour sang pur sang ;
Rémi Ucheda, Sculptures praticables;
David Liver, America.
Nonüde est un atelier de dessin-vivant animé par Sarah Cassenti. Il est ouvert aux danseur·ses, dessinateur·rices comme à tout public intéressé par le dessin. Tout au long de l’atelier, plusieurs performeur·ses, tantôt en sous-vêtements, tantôt habillés, réalisent des improvisations dansées ou des actions, seul·es ou à deux. Ces interventions tournent toutes autour du corps, de sa représentation, du mouvement et du dessin.
“Les Clefs du Nönude : La durée et la cosmogonie. Les corps nus et sexués pour médiums, Maya Arbel (Israël), Naomi Shka et Hélène Defilippi, la beauté et l’intensité de leur présence respective. La vivacité des dessinateurs et de leur trait pour l’agilité et l’éclat de la pensée. La notation du présent en étoile par les participants. Les éléments du décor de Sarah Cassenti dégoupillent des ailleurs pour de nouvelles liaisons entre les poses vivante et nous, l’écriture vidéo de David Coignard font glisser les plans, font apparaître et disparaître les reliefs, créent des zones d’ombre, zones d’imaginaire pur, autant de Portes pour plonger intensément dans notre espace intérieur et en tirer un itinéraire cristallin, un tracé vers l’antre de notre joie en liberté.”
-Sarah Cassenti
Sarah Cassenti agence et met en scène en direct chaque séquence de sa proposition qui oscille entre performance et arts visuels.
Nue, Maya Arbel fait varier la position de son corps face à un public de dessinateur·rices convié·es pour la performance. Elle se détache sur une projection où s’alternent couleurs vives et formes abstraites. Selon la position qu’elle adopte, son corps est éclairé ou laissé dans l’ombre. Elle se place et se déplace entre les objets laissés au sol ou sur une table.
La sculpture d’un tronc féminin en plâtre, posée sur le sol, crée un jeu de rappel avec son corps.
- Nombre d’œuvres dans le fonds 18